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A l’occasion du festival de Cannes, une société de loisirs organise une expo éphémère sur la voile et la peinture, et notamment sur le thème de la vision romantique des voiliers dans la peinture. Le seul problème est que pour voire cette exposition – qui compte un certain nombre de toiles de maîtres, il vous faudra louer le yacht qui soutient cette expo que je trouve particulièrement intéressante. Le concept même du romantisme - une vision poétique décalée d'une société bâtie sur des ruines fumantes - s'accorde mal avec la peinture marine qui nécessite une vision pragmatique des relations entre l'élément maritime et le bateau. Prenons l'exemple du Saint-Géran: le voilier n'est qu'un élément dramatique destiné à (inévitablement) se fracasser sur les brisants tandis que sur le rivage, Paul pleure et se tord les mains de douleur sans rien tenter puisque l'issue fatale est inévitable et que Virginie doit absolument trépasser. Quoique le peintre n'ait jamais revendiqué son appartenance à la peinture marine, le Radeau de la Méduse de Géricault (1791-1824) exprime autant le romantisme du sujet : naufrage, abandon, désespoir, qu'il est traité de façon résolument << nautique ››. De son côté, William Turner (1775-1851), surtout peintre paysagiste et zélateur du romantisme, a laissé une quantité de peintures marines célébrées dans le monde entier. Certains admirateurs n'hésitant pas à affirmer que le First-Rate taking in Stores (L'Approvisionnement) réalisée en 1818 est la plus célèbre de toutes les peintures marines. On y voit deux imposants vaisseaux de guerre à l'ancre recevant leur avitaillement effectué par de petits voiliers. Revenons vers la France, à Marseille, où une dynastie de peintres de marines naissait. Le créateur et l'aïeul, se nomme Joseph Roux (1725-1793). Hydrographe de profession et peintre autodidacte, il exprima son art sur les événements du port et des portraits de navires. Bon sang ne saurait mentir à ses origines et son fils, Ange-Joseph Antoine Roux (1756-1835) sait très tôt observer et reproduire les scènes de port avec la même précision que celles relatives à la marche des navires. À sa suite, ses quatre enfants (une fille et trois garçons) devinrent des aquarellistes de talent. C'est le roi Louis XV qui lança réellement le genre de la peinture marine quand, en 1752, il passa commande de la série des tableaux des ports de France à Joseph Vernet (1714-1789). Le peintre des ports devint ainsi le premier « peintre officiel des marines ››. Plus tard, l'un de ses élèves, Nicolas Ozanne (1728-1811) se consacra totalement au sujet. Mentor du futur roi Louis XVI, il peignit des scènes de bataille fameuses dont les capitaines corsaires se nommaient Duquesne, Villaret de Joyeuse, Duguay-Trouin, il dessina des planches techniques d'architecture et de construction navales, il représenta des vaisseaux, des vues de ports, des scènes historiques, des relations d'expéditions. C’est une très belle expo, mais le seul hic est qu’il vous faudra passer par la location de yacht à Cannes pour l’apercevoir. Suivez le lien pour les infos.

L’Egypte ne sait plus quoi inventer pour chercher des sous. Le problème de la révolution est qu’elle a fait des dégâts dans le budget et notamment dans les devises issues du tourisme qui ont disparues comme peau de chagrin. Résultat, les egyptiens veulent faire venir des touristes fortunées en proposant des expériences plus qu’inhabituelles. En témoigne, cette découverte d’Abou Simbel, en mode VIP, puis en mode avion de chasse. Si vous disposez d’une journée supplémentaire, consacrez-la sans hésiter au complexe rupestre d'Abou Simbel, à 280 km au sud d’Assouan (trois heures et demie environ en car ou moins d'une heure en avion). Conclusion idéale d’un itinéraire dans l’Égypte des pharaons, ce complexe archéologique situé sur le territoire nubien et à 40 km de la frontière soudanaise se compose du petit temple d'Hathor et du Grand Temple, creusés au 13° siècle avant notre ère dans une paroi rocheuse verticale et déplacés à 200 m de leur emplacement d’origine pour éviter qu’ils ne soient détruits par les eaux du lac Nasser, dans les années 1960. C’est à Ramsès II, incarné à l’entrée du Grand Temple par quatre colosses de pierre coiffés de la couronne de Haute et de Basse-Égypte, que l’on doit l’édification de ces temples, destinés à célébrer la victoire du souverain sur les Hittites lors de la bataille de Qadesh en Syrie. À l’intérieur du sanctuaire, des statues représentent le pharaon en compagnie des dieux Amon-Râ, Ptah et Râ-Horakhty :tous les 22 octobre et 22 février, les rayons du soleil levant pénètrent par la porte d’entrée et viennent éclairer les figures de pierre assises sur leur trône, renouvelant ainsi leur puissance divine. Une fois cette visite effectuée, vous serez transporté à la base militaire la plus proche pour une visite des lieux puis un survol du temple en avion de chasse, avant de faire quelques évolutions et de revenir sur la base aérienne. Cette prestation aérienne sera facturée suffisamment chère pour qu’elle donne envie aux autres riches de la planète de venir découvrir les beautés d’Egypte, en avion de chasse. Pour en savoir plus allez sur le spécialiste du http://www.vol-avion-chasse.com/.

A découvrir pour les fans d’hélicoptère, un site propose des séances de simulateur su Sikorsky 55, une énorme machine de guerre, avec missions de guerre à la clef. Au moment de l’apparition du type Sikorsky S~55. Les principes et les applications de l’hélicoptère étaient déjà bien définis. Le Sikorsky S«-55 fut néanmoins très innovateur par le positionnement de son moteur dans le nez et sa liaison avec le rotor principal au moyen d`un arbre oblique. Disposition qui dégageait tout le volume situé sous le rotor et permettait d`y loger jusqu'à dix hommes de troupe équipés ou six civières. Le prototype YH-19 fit son premier vol en novembre 1949, propulsé par un moteur en étoile Pratt 81 Whitney R-1340 de 550/600 ch. D`autres propulseurs furent utilisés sur un grand nombre de versions dérivées du S-55 produites pour des opérateurs civils et militaires. Les versions militaires américaines furent le I-I-19 pour l'USAF et l'US Army, HO4S pour l'US Navy et I-IRS pour l'US Marine Corps. Mais en 1962, toutes les variantes militaires américaines furent redésiglées dans des séries H-19. Ces appareils reçurent leur baptême du feu en Corée en procédant à la récupération des aviateurs abattus et au transport de matériels légers. En septembre 1951, les HRS-1 du squadron HMR-161 de l'US Marine Corps devinrent les premiers hélicoptères ayant mené les Marines au combat. En juillet 1952 deux H-19 de l'USAF furent les premiers hélicoptères ayant traversé l'Atlantique avec escales, un exploit à l'époque. Les UH-19 Chickasaw de l’US Army combattirent aussi au Vietnam au début de l’engagement américain en Indochine. Environ 1 285 S-55 furent construits par Sikorsky. Le type S-55 fut également construit sous licence par plusieurs autres pays dont la Grande-Bretagne, le Japon et la France. Au Royaume-Uni, Westland fabriqua et développa le type sous l'appellation Whirlwind qu'elle produisit en trois séries différentes équipées de moteurs pistons. Voilà pour l’histoire, mais c’est un très bel hélico, et je suis sur que cela plaira à un grand nombre de s’essayer au pilotage d’un hélico. Plus d’infos sur simulateur de vol.

Certaines inventions ont permises de développer des pans entier d’économie, et c’est notamment le cas dans l’automobile, avec l’invention d’un certain Mr Benz, et qui a permis de créer de fait une nouvelle industrie, celle de l’automobile moderne. On peut comparer le fonctionnement de l'allumage par étincelle à un fermier qui utiliserait un aiguillon électrique pour faire avancer son troupeau de vaches. C’est aussi ce qui permet à un moteur à combustion interne de fonctionner à l'essence. L'allumage par étincelle fait passer un courant électrique jusqu'à une bougie d'allumage qui enflamme le mélange d'air et de carburant dans la chambre à explosion du moteur. En 1890, Karl Benz (1844-1929) lança une nouvelle ère de civilisation avec cette invention. C'est le développement de l'industrie automobile - où Benz était déja célèbre pour avoir inventé la voiture - qui permit l'apparition du moteur à combustion interne. 0n doit aussi souligner le rôle d'Oliver Joseph Lodge, qui contribua de façon importante à l'allumage par étincelle électrique et dont les fils développèrent les idées au début du 20ème siècle pour former la Lodge Plug Company, qui vendait des bougies d'allumage. Cependant, ce n'est qu'en 1902, avec l'invention de la première bougie à haute tension commercialement viable par Gottlob Honold, que l'on put mettre au point le moteur à combustion interne. Cette nouvelle bougie était l'une des composantes d'un système d'allumage magnétique. La capacité d'améliorer la fiabilité des moteurs a rendu possible la majorité de la technologie mécanique que l'on associe à la société moderne. Il faut se replonger dans le passé. Tard dans la nuit du 31 décembre 1878, l'ingénieur et inventeur allemand Karl Benz mettait la touche finale à sa toute dernière invention : un moteur 2 temps à combustion interne et à refroidissement liquide. Ce moteur a essence était plus compact et plus léger que les imposants moteurs a vapeur d'antan. En 1885, Benz l'associa a plusieurs autres inventions récentes (le carburateur, la batterie, l'allumage par bobine, la bougie et le différentiel) pour obtenir un tricycle motorisé qu’il baptisa le «Motorwagon››. Cependant, son unique roue avant n'était guère adaptée aux routes européennes creusées d'ornières, et il ne parvint pas à séduire le public. Source : Le guide achat voiture.

Je rentre du Canada, et spécialement du Grand Nord, où il commence déjà à neiger. Et alors que pour nous tous français, la neige est un problème qui nous empêche de circuler, les canadiens s’amusent de cette situation, et poussent même le plaisir jusqu’à utiliser tous les moyens de transport possibles pour poursuivre leur vie quotidienne. Pour preuve, les habitants d’une région plongée sous la neige qui vont au restaurant, au cinéma et dans les rues de la ville en motoneige. Ceux-ci pourront utliser un sentier spécialement aménagé qui traverse notamment un parc d’activités et le centre ville. Le sentier enjambe le prolongement prévu du boulevard de Portland, dont la construction devait commencer cet automne. Pour des raisons de sécurité, les motoneigistes ne pourront toutefois pas traverser ce boulevard à quatre voies lorsqu'il sera construit. Rappelons qu'à pareille date l'an dernier, la Ville de Sherbrooke avait donc informé le Club de motoneige Harfang de l'Estrie que le droit de circuler dans le sentier du parc industriel régional ne serait pas reconduit après la saison 2012-2013. Puisque le prolongement du boulevard de Portland a été reporté en 2014, le conseil municipal juge approprié de reconduire le droit de passage des motoneigistes pour l'hiver 2013-2014. Ceux-ci pourront donc à nouveau circuler jusqu'au sentier multifonctionnel longeant la voie ferrée de la compagnie ferroviaire MMA ainsi que sur les rues J.-A.-Bombardier, Marconi, Don-Bosco Sud et de la Burlington, entre le sentier multifonctionnel et la rue King Ouest. A noter également les 7000km de pistes disponibles au Québec pour tous les amateurs qui viennent d’ouvrir. Ainsi les inconditionnels de ces disciplines peuvent obtenir les toutes nouvelles cartes motoneige et quad hydrofuges dès maintenant. Tourisme Centre‐du‐Québec et Tourisme Chaudière‐Appalaches seront présents au Salon national du Quad et des véhicules hors route de Saint-Hyacinthe, du vendredi 27 septembre au dimanche 29 septembre, pour distribuer ces cartes et proposer les deux régions comme des destinations hivernales incontournables! Les adeptes de quad et de randonnée en motoneige pourront également rencontrer les régions au Salon des sports récréatifs motorisés de Québec, qui aura lieu du 25 au 27 octobre 2013.

Parce qu’il ne faut plus avoir peur de prendre l’avion. Beaucoup de personnes ont peur en avion parce qu’elles ne saisissent pas comment un aéronef de quelques centaines de tonnes peut s’envoler dans le ciel sans se crasher. Il est important de rappeler divers fonctions aérodynamiques afin de vous expliciter comment fonctionne un avion. Le 1er principe aérodynamique est la portance. Ainsi la portance est une règle évidente, que l’on identifie autant sur l’aéronef qu’autant les volatiles. Au fur et à mesure que l’avion va plus vite, l’air va au dessus, et en dessous de l’aile. L’air qui va sur l’aile est plus vive que l’air passant sous celle-ci, produisant de fait un effet de portance. La dynamique est que l’aéroplane est ainsi tiré vers le ciel. L’air passe plus dynamiquement sur l’aile du à sa forme légèrement arrondie. L’aérodynamique qui aspire l’avion vers le haut, se balance au poids de l’aéroplane qui le l’entraine vers la terre. En conséquences plus la célérité est grande – plus précisément plus la amplitude de rapidité est forte, plus la portance est élevée, maintenant l’avion dans les cieux. Les propulseurs sont donc considérables, puisque ce sont les propulseurs qui permettent de faire décoller l’aéronef et de réaliser ce phénomène de sustentation. Une autre peur commune est celle de croire que si les moteurs font défaut, l’avion filera vers le sol. Il s’agit d’une occurrence très inhabituelle, mais si l’aéronef perd une turbine, par exemple du fait d’un incendie, celui-ci sera éteint depuis le cockpit, et l’aéronef continuera son cap avec un seul moteur, qui est amplement suffisant pour continuer de voler. Dans la possibilité encore plus exceptionnelle dans laquelle les deux moteurs défaillent, l’aéroplane, grâce à son aérodynamisme et au caractéristique de sustentation, planera pendant 25mn à peu près sur un parcours de 250Km, ce qui est amplement satisfaisant pour choisir un aéroport. Avec les gros aéronefs qui bénéficient de 4 propulseurs, il est extraordinaire que toutes les turbines fassent défaut au même moment. Enfin, les ailes. Des personnes se tourmentent de voir la voilure s’incurver, la plupart du temps en situation de perturbations. Les ailes sont réalisées pour se cintrer. Pour en savoir plus, allez sur le site dédié à la peur en avion.

Les Voitures auto-conduite élaborées par Google et certains constructeurs automobiles obtiennent un ascenseur du régulateurs auto-sécurité américains désireux d'accélérer l'automatisation qu'ils prédisent pourrait prévenir de nombreux accidents. Le Département régulateurs des Transports a publié aujourd'hui une politique visant à faire progresser les essais de voitures auto-conduite et à encourager le développement des technologies de ces précurseurs, tels que les systèmes et les freins qui s'appliquent lorsqu'une collision est détectée ou la communication de véhicule-à-véhicule lorsqu’une collision imminente peut arriver. Ces technologies ont un avenir très prometteur, à la fois pour la sécurité et pour le développement de l’autonomie des personnes. Les régulateurs sont impatients de profiter des avantages au niveau de la sécurité qui peuvent provenir de la lutte contre l’erreur humaine en conduite. L'an dernier, environ 34.000 personnes sont mortes sur les routes américaines, soit une augmentation de 5,3 pour cent après six années de baisse. L’utilisation de la technologie de communication à courte portée de véhicules à véhicule pourrait prévenir ou réduire la gravité des accidents, d’autant que 80 pour cent des accidents impliquant des conducteurs non-déficients. Environ un tiers des accidents de la route sont liés à l'alcool. Les technologies de sécurité V2V (vehicule to vehicule) ont le potentiel de réduire considérablement les décès et les traumatismes dus aux accidents automobiles. D’autres procédures de sécurité seraient implémentées également, comme le freinage automatique avant un accident et des systèmes qui permettent aux voitures de communiquer les uns avec les autres pour éviter les collisions. Et d’autres géants de l’automobile se lancent dans le créneau. Ainsi General Motors a travaillé sur les technologies de véhicules autonomes parce qu’ils croient en son potentiel de sécurité pour éviter les accidents et sauver plus de vies. GM, basé à Detroit, teste une Cadillac avec la technologie «Super Cruise" qui automatise direction, freinage et la piste de centrage lorsque vous conduisez sur une autoroute dans de bonnes conditions. La société prévoit de produire le système d'ici la fin de la décennie. GM travaille également avec l'Université Carnegie Mellon, à Pittsburgh, pour développer des technologies plus automatisées au volant suite à la création d'un laboratoire commun en 2008. Est-ce la fin de la voiture comme on l’entend, comme une extension de sa personnalité, capable de susciter des émotions ? Ou va-t-on vers des véhicules qui ne deviennent que des moyens de transports sans âme, mais totalement sécurisé ? Source : nouvelle voiture.